Clan des Aires
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 Voici l'Histoire du Clan des Aires

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Spiks
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Spiks


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MessageSujet: Voici l'Histoire du Clan des Aires   Voici l'Histoire du Clan des Aires EmptyMer 11 Jan - 13:11

Il y a longtemps de ça, dans la ville d'Astrub, une petite fille nommée Seria vit le jour. Le temps passa, elle grandit et se tourna vers la déesse Féca. À l'époque, Astrub n'était qu'une petite ville, et elle se faisait régulièrement attaquer par une bande de roublards combatifs et aventureux. ils passaient, les gens fuyaient, alors ils en profitaient pour piller, incendier une ou deux maisons et disparaissaient. Les habitants revenaient, et la vie reprenait son cours. Jamais la famille de Seria n'avait été particulièrement volée, et jamais sa maison ne s'était fait incendier.

Elle s'occupait du troupeau de bouftous de sa famille, et passait son temps dans les pâturages au sud d'Astrub.
Lorsqu'elle eu 25 ans, elle se maria avec un tailleur et mit au monde, deux ans plus tard, un enfant.
Un soir, alors qu'elle rentrait ses bouftous, un nuage de fumée noire s'éleva d'Astrub. De nombreux cris retentissaient dans l'air.
Elle courut aider les villageois à éteindre les incendies, et passa la nuit à étouffer les feux. Au petit matin, elle se dirigea vers sa maison, en se demandant si son mari et son enfant étaient déjà revenus ou étaient restés en arrière avec les autres, pendant que les hommes s'occupaient du feu.
Elle tourna dans sa rue et le spectacle qui s'y déroulait la glaça d'effroi. Un groupe roublards étaient restés, à l'insu des villageois, pour piller encore un peu. Ils encerclaient un villageois et le rouaient de coups en riant. Elle faillit défaillir en découvrant que le villageois était son mari. Il avait dû revenir plus tôt… Elle saisit un morceau de bois, s'approcha d'un des bandit et lui assena un fort coup sur la tête. Il s'effondra, mais les autres se tournèrent vers elle.
Elle recula d'un pas, mais en voyant que son mari tenait dans ses bras leur enfant, elle hurla et se jeta sur les roublards.
Durant un temps infini, elle lutta contre eux, frappant aveuglément. Malheureusement, ses boucliers résistèrent peu et elle s'évanouit.

Elle se réveilla dans une chambre. À côté d'elle, un disciple d'Eniripsa qui la soignait.
Seria demanda avec peine ce qu'il s'était passé. Il lui répondit que, après avoir attaqué les bandits, elle avait sombré dans l'inconscience, mais que d'autres villageois étaient arrivés à ce moment là et avait pu la sauver, en repoussant les roublards. Elle lui demanda où étaient son mari et son enfant. Il ne répondit pas, et commença à ranger ses instruments. Elle se redressa et haussa la voix. Il la regarda et s'excusa. Dans l'échauffourée, un roublard les avait tué, ainsi que deux autres villageois.
Seria hurla, et pleura longtemps. Refusant de manger, malgré son état.
Ses amis essayèrent en vain de la réconforter, elle ne voulait rien entendre. Elle passa longtemps dans sa chambre, chez elle, enfermée, sans que personne ne la voit.

Un soir, elle sortit soudainement de chez elle, et courut à la Taverne.
Là, elle fit un discours désordonné aux clients, comme quoi on pouvait la ville ne pouvait pas continuer à vivre comme ça, qu'il fallait faire quelque chose, et qu'elle allait s'en charger, et qu'il fallait des villageois prêts à se battre pour vaincre les Roublards.
Elle même écrivit dans son journal qu'elle ne rappelle pas de la suite, en dehors du fait qu'elle avait fini raccompagnée chez elle.
Mais… Sa déclaration avait fait son chemin. Son malheur était connu dans le village, et certains jeunes gens, dont les biens avaient été volés, détruits, ou les proches tués, décidèrent de l'aider.
Lorsque Seria ouvrit sa porte, ils étaient une dizaine, et celui qui avait frappé déclara :

« Madame, nous sommes à vos ordres. »

Seria s'en alla alors au Château d'Amakna demander la bénédiction du Roi.
Ainsi commença le Clan. Les membres s'entraînaient sans relâche ; chaque jour ils pratiquaient leurs sortilèges, combattaient à l'arme blanche. L'un d'entre eux, après une semaine de voyage, revint avec un vieux combattant, qui était à moitié sourd mais qui savait manier tous les types d'armes avec une dextérité qui aurait fait fuir le Dark Vlad. Les autres villageois regardaient ce petit groupe d'un oeil sceptique et critique, car d'après eux "ces gaillards seraient mieux aux champs !".
Un jour, au début de l'Automne, les roublards attaquèrent la ville. Ils incendièrent des maisons à la porte Est du village et commencèrent le pillage. Ils auraient réussi si une bande de villageois armés d'épées et de solides bâtons ne s'était pas jetée sur eux en hurlant. Ils frappaient les roublards isolés puis disparaissaient dans les ruelles pour frapper ailleurs. Ces derniers, pourtant en supériorité numérique, étaient complètements dépassés, dans une ville en flammes qu'ils ne connaissaient pas.
Enfin, lors d'une ultime bataille dans la Grande Rue, ils durent fuir, abandonnant leurs larcins et leurs compagnons blessés.

Hurlant leur victoire, ils capturèrent les roublards restant et éteignirent l'incendie.
Lorsque les villageois revinrent, quelle ne fut pas leur surprise en découvrant au milieu de la place un tas de Roublards ligotés, avec une feuille de papier sur laquelle était tracée ces mots :

"Cadeau de la part du Clan Mercenaire d'Astrub, toujours à votre service"

Seria cru mourir le lendemain matin, en sortant sur son balcon, face à la foule de villageois qui hurlaient vouloir s'engager dans le Clan !
Elle réunit les membres du Clan chez elle, et ils décidèrent de ne recruter que les meilleurs, et seulement par lettre de motivation, afin de décourager les moins engagés.

Le Clan racheta une ruine un peu au Nord du Zaap, et y aménagea un bâtiment accueillant, afin de s'en servir comme Quartier Général.
Désormais, le Clan repoussait systématiquement les attaques des roublards. Seria commandait les opérations, les premiers villageois qui l'avaient rejoins l'aidaient, et les autres obéissaient aux ordres et votaient les décisions.
Le Clan construisit une imposante muraille autour de la Ville, afin de mieux la protéger et de pouvoir contrôler les entrées. Ils firent également creuser une prison, afin d'y enfermer les criminels.

Tout ceci porta des fruits inattendus :
Non seulement la ville était systématiquement défendue et les attaques menées par les Roublards finissaient en débandades générales, mais le petit village commença à être connu.
Des aventuriers y passaient souvent désormais, d'autres essayaient de s'engager dans le Clan. Des habitants du monde entier vinrent habiter dans ce qui est désormais la grande ville d'Astrub. On y trouvait désormais des tailleurs, des pêcheurs, des paysans, des mineurs, des bijoutiers, des commerces en tous genres, bref, le village était désormais une grande et belle ville.

Tout aurait pu aller pour le mieux, mais comme disait quelqu'un : il n'est jamais trop tard pour les choses tristes.
Les Roublards en avaient vraiment par dessus la tête de ce Clan d'Astrub qui empêchaient le pillage et le vol ! Astrub était comme un fruit délicieux mais inaccessible. Certains Roublards s'étaient même reconvertis en aventurier et étaient allés y habiter.
Un prêtre Roublard implora Sram, qui était à l'époque caché sous le nom de Dralbour, de les aider, mais celui ci répondit après trois jours d'offrandes qu'Astrub était devenu un nid de voleurs à la tire, d'arnaqueurs et autres personnages malhonnête, que ça lui plaisait bien, et que s'ils n'étaient pas capable de se battre correctement, alors c'était tant pis pour eux !
Un émissaire Roublard fut donc envoyé voir le plus grands des leurs, toujours connu, dont le nom fait trembler les plus braves : Vil Smiss.
Inégalé, c'est le plus grand des Roublards. Lorsqu'il entendit la requête du messager, il se mit à hurler dans son repère du Cimetière que jamais les roublards n'avaient raté une aussi belle occasion de voler de tout, que c'était une honte et qu'il allait s'en occuper lui même !
Il regroupa les Roublards du monde entier et marcha sur Astrub. Ils encerclèrent la ville, et, sur un coup de sifflet, les bombes s'envolèrent par dessus les murailles, semant le chaos et la destruction parmi la ville. Les habitant se terraient dans leurs caves, priant les dieux. Le Clan, composé à présent de nombreux membres, se regroupa et se ruèrent sur les roublards dissimulés autour de la ville. Il fallait faire vite, car chaque bombe risquait de tuer des innocents ! Ce fut un véritable les carnage : Ceux qui se désignaient à présent comme les "Mercenaires du Clan d'Astrub" étaient en sous nombre, malgré l'aide apporté par certains aventuriers, mais ils étaient bien mieux entraînés au combat rapproché que les roublards, qui, eux, préféraient les escarmouches rapides sans résistance. Des hurlements de douleur et de rage jaillissaient de partout : on se battait dans les rues, dans la forêt, dans les montagnes, sur les murailles dans les maisons, sur des dragodindes, à pieds, avec des pelles, des épées, des arcs, des bombes, des pièges, des sortilèges, des dagues, des haches. Tous les coups étaient permis, c'était l'ultime bataille.

Les deux armées demeuraient à égalité, mais le carnage se déroulait désormais au milieu de la forêt. Le sol était jonché de cadavres et la terre gorgée de sang.
Seria était au front, protégeant ses camarades de ses boucliers, les encourageants, donnant des directives. Qui n'aurait pas été en admiration devant cette bergère devenue générale de guerre ? Elle réussi une percée dans la ligne ennemie, et se retrouva soudain face à Vil Smiss lui même.
Le duel s'engagea sur le champ, au milieu des combats. Pendant près d'une heure aucun des deux adversaires ne faiblit, jusqu'au moment fatidique ou Seria trébucha sur une bombe sournoisement envoyée là par quelque roublard du champ de bataille. La bombe explosa et elle fut gravement blessée, projetée contre un arbre.
Vil Smiss se dirigea vers elle, titubant encore de l'explosion mais déterminé à en finir. Deux mercenaires essayèrent de s'interposer, mais il les tua.
Il se positionna devant Seria, les mains sur les hanches, et lui passa son épée au travers du ventre, en riant de joie.
Autour d'eux, les combats cessèrent petit à petit et tous se tournèrent vers le duo. Un des nouveau mercenaire se jeta aux côtés de son chef. Elle lui murmura quelque chose.

« Ne… jamais… abandonner… »

Elle ferma les yeux et son corps devint inerte. Les roublards rugirent de joie, tandis que le peu mercenaires restant et les aventuriers ayant pris part au carnage restaient immobiles. Le jeune mercenaire saisit l'arme de son chef et se jeta sur Vil Smiss, pris au dépourvu. Il l'assomma et se mit à le rouer de coups. Il hurla, à l'attention de tous :

« NE JAMAIS ABANDONNER ! »

Comme sous la bénédiction de Sacrieur elle même, les mercenaires écrasés par la mort de leur chef se ruèrent sur les roublards et le combat repris. Leur force était démesurée, à l'égale de leur chagrin. Les roublards furent repoussés jusqu'à la lisière de la forêt. Un petit groupe réussi à s'enfuir dans les plaines, emportant leur chef blessé et humilié avec eux. Les autres furent décimés jusqu'au dernier.

Le jeune mercenaire savait qu'ils finiraient par revenir. Il savait que la prochaine fois ils ne seraient pas de taille. Ils n'étaient plus qu'une poignée de mercenaires survivants. Il pris alors le Clan en main, et, le renomma Clan des Aires, en l'honneur de Seria.

Il décida avec les survivant de redonner vie à ce Clan, et, surtout, de ne jamais abandonner.
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