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 Hulrick Van Dester

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Bombes-atomik

Bombes-atomik


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MessageSujet: Hulrick Van Dester   Hulrick Van Dester EmptyDim 11 Mar - 11:22

Chalut mercenaires ! Je viens enfin de finir mon histoire et je m'empresse de le poster !
Il y a des petites incohérence sans doute mais bon ( silent ), j’espère que vous apprécierez What a Face
ps : Pour ceux qui le souhaite, vous pouvez corriger les fautes Twisted Evil

Voici donc ce fameux (ou pas...) background :

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Chers lecteurs avide de savoir, je suis heureux de vous conter cette histoire.

Pour retirer tous doutes, cette histoire n'est pas mienne, non je vais vous conter celle d'un autre homme. Un homme qui, d'après toutes mes recherches reste encore un mystère aussi vieux que le monde lui même.

Cette histoire est celle d'un homme portant le nom de Hulrick Van Dester. Mais je dit plus que je ne devrais. Très bien, commençons donc par le début. Un début qui comme tous les autres ont une fin...

Partie 1 : Le commencement


Brakmar, cité où la trahison est une base que tous citoyens doivent acquérir. Brakmar, cité des ténèbres, cité démoniaque, cité où la tristesse équivaut a la joie. Cité où naquit Hulrick.

C'était un Miordor, le temps gris par nature de Brakmar, resplendissait avec les crachats de lave qui s'écoulait le long des égouts. Deux personnes, dans leur solide bâtisse, étaient fermement collé l'une a l'autre. Un homme. Une femme.
Leur chaleur corporelle faisait bouillonner en eux le plaisir imminent qui approchait pas à pas, tranquillement. Tantôt ils stoppaient leur geste en pleine action, tantôt ils allaient aussi vite que l'éclaire. Étrangement, plus de mot doux que d'insulte, comme le voulait la tradition, sortaient de leur bouche ou la salive en émois se dilapidait. Les corps en actions continuèrent leur folle course jusqu'au lendemain matin où nos jeunes tourtereaux eurent le droit a un repos bien mériter.
Le miracle se produit neuf mois plus tard. Un enfant naquit de l'union de ces deux êtres humains. Un garçon. Hulrick.
Oh ! Veuillez me pardonner chers lecteurs, ma plume écrit plus vite que je ne parle et du coup j'ai manquer a mon devoir. Je ne vous ai pas parler des parents du petit Hulrick.
John Van Dester, un modeste roublard dont la vie fut remplit d'échec et de misère, la seul chose qu'il fit de bien durant sa pauvre et minable existence fut sans aucun doute le fait d'avoir mis au monde ce poupon. La mère quand a elle mourut lors de son accouchement, de son nom d'origine Myia Trys toute jeune disciple du Dieu sacrieur eut une vie bien pauvre, à l'âge de quinze ans elle épousa John qui en avait vingt de plus. Deux ans après cette union sacrée elle mis au monde Hulrick et mourut dans le silence. Elle n'avait que dix-sept ans.


Partie 2 : L'enfance

Hulrick eut une enfance plutôt simple, il fut attribué au Dieu des roublard, Sram, mais fut élever comme un réel roublard par son père. A l'âge de quatre ans, il volait, à l'âge de six, il tuait, à neuf il organisait des attentats a la bombe avec son père.
Une enfance normal, propice et pleine de réjouissance disait Mr Van Dester. Une enfance normal pour un roublard certes, mais Hulrick savait que on fond de lui, il lui manquait quelque chose. Une chose qui le faisait souffrir a un point telle qu'il ne pouvait plus dormir. Sans doute la chose la plus importante de la vie, la seule chose que sa défunte mère ait pu lui laisser : l'amour.
Hulrick en manquait affreusement et en souffrait d’avantage, son père n'y comprenait rien, il le fit examiner par les plus grands spécialiste mais rien n'y fit. Hulrick allait en mourir. Mourir de la plus belle chose au monde, l'amour. Une mort splendide pour certain, mais terrifiante pour d'autre.
J'ai, durant mes années de vie, lu énormément et je pense que cette phrase reste la plus approprié pour décrire ce que ressentait Hulrick : « J'ai une maladie, une maladie mortelle, une maladie faite de la main des hommes » -Hector Vugo, Le dernier jour d'un condamné.
En plus de tous les malheurs du monde que Hulrick dû supporter, son père vint a mourir. Une mort simple, tout a fait banal. Arrêt cardiaque en pleine mission d’assassinat. Hulrick n'avait alors que douze ans.
L'enterrement, très simple lui aussi, se fit dans les Landes de Sidimote. Son cadavre enterré sous dix mètre de terre, eut le droit a une malheureuse pièce d'or posé délicatement sur sa bouche.
C'est seulement maintenant que la véritable histoire d'Hulrick débuta.



Partie 3 : Le début de l'histoire

Il faisait nuit noire, et la seule clarté obscure ce mélangea avec la brume jaunâtre de la nuit.
Bonta. Cité qui vu le jour pour la guerre. Cité qui contre toutes tentatives de la milice reste peuplé de tueurs et d’assassins.
Les bourgeois, les avares étaient les proies préfère d'Hulrick. Ils ne faisaient jamais attention au monde qui ce trouvait, pourtant, juste a leur pied. Bref, revenons a notre histoire.
Hulrick passa deux années a Bonta a pilier, voler, assassiner les pauvres gens jusqu'au jour où il rencontra la chose qui lui manquait le plus de sa vie.
Rappelez-vous qu'Hulrick souffrait de son manque d'amour. Eh bien, plus maintenant. Il rencontra La femme, une femme fleuriste, une belle femme fleuriste. Sa maladie disparut à la seconde où leur yeux se croisèrent. Mais tout bonheur a une fin. Et ce bonheur là arriva plus vite que prévue...
Le lendemain matin, la nouvelle arriva à la gazette « Bont'matin ». Un tueur en série agissant la nuit depuis maintenant douze jour avait encore frapper, la victime était une fleuriste. Son cadavre découpé comme les précédant en huit morceau, avait été donné en pâture aux chiens errant.
Quand ses yeux de jeune homme insouciant se posa délicatement sur l'article, il crut mourir.
La seul personne, même en la regardant uniquement, qu'il a su aimer, venait de décéder.
Son cœur ne réfléchit plus que par son épée, il la brandit dans le ciel et fit des gestes comme si il voulait saluer sa fleuriste bien aimé dans le ciel.
Comme vous le devinerez, Hulrick voudra se venger ou du moins venger cette pauvre femme. Mais tout d'abords, Hulrick, décida qu'il était temps pour lui de faire disparaître sa ligné. Les Van Dester allaient mourir. Hulrick Van Dester rendit l'âme dans une taverne de Bonta à 0h00, l'heure du crime... Il allait ce venger... il sera désormais...
...Bom-atomik



Partie 4 : Bom-atomik


Ce matin-là, quand vint l'aurore, Bom (appelons le comme ça), ne se réveilla pas. Il reste de longues heures dans son lit à aiguiser la lame de son épée. Doucement, lentement, avec amour et tendresse, avec calme et sérénité. Demain Bonta sera rouge.
On dit que l'amour rend aveugle, alors la colère rend un homme qui, de tous points, ne recherche que l'amour devient alors meurtrier.
Le jour passa sans que Bom ne daigne sortir de ses draps. Le soir, il se leva. Prit une douche, regarda avec attention le plan de Bonta, les tavernes favorites des bandits, et il partit dormir.

Ô soleil propice à la lumière, Ô ténèbres qui de son temps faisait ressortir l’éclatante beauté de son visage noirâtre, douce mélodie, chante donc avec mes songes. La nuit, tendre claque infâme qui me couvre de baiser, resplendissait de lueurs incontesté. N'y aurait-il alors aucune chance de fuite ? Aucun précipice méridional ne changerait ton appuie machiavélique ? C'est la mort, en personne qui vient t'embrasser de plein fouet jusqu'à ce que sonne l'aurore...

Le réveil fut brutal et sec. Bom se passa de l'eau sur son visage, avala deux-trois gâteaux, puis se mit en route de la taverne la plus proche, son sabre la main.

Triste chose qu'est le dur travail récolté par amour puis jeter aux ordures dégoûtantes des égouts. Triste chose qu'est la vie, si courte soit elle. Où est donc la place de l'amour dans tout ça ? Où est donc la place de la haine ? Ce vil bandit, sinistre personnage aurait-il plus de chance que moi ?
C'est le temps, c'est lui qui décidera, qui doit partir et qui doit rester, qui doit mourir et qui doit respirer...


Barrant au fur et à mesure les tavernes où son hommes n'était point présent, Bom continuait sa route, seul, tout seul, une larme réussit enfin à se dévoiler sur la joue gauche de son visage. Elle ne dura point, sitôt présente, sitôt effacer.

Mais n'y a t-il point de chance de survit ? Une cachette il te faudra trouver après le meurtre de ton ennemie bien aimé. Une auberge ce fera grand plaisir de t’accueillir pour les miliciens te récolté ensuite. Fuir loin ceci en est certain. Où ? Où ce cacher quand on arrive à peine à déclarer à une personne si désemparer, son amour si immatériel soit-il...

…La nuit est noire de sang, il ne séchera que à l’aube du néant....

…Sort ton épée de ton fourreau ! Le malotru est ici, il est présent, dans cette taverne désemparé...

...Il ne te regarde point, tue le dans son dos, venge toi, pour elle, pour toi...
...Des miliciens approche ! Vite avant qu'il ne soit trop tard ! Tue le vite...

...Geste de toute beauté tu accomplis, crie de souffrance amer et doux provient de la bouche de ce voyou. Fuis maintenant, fuis, cours aussi vite que tes douces jambes puissent courir ! Ils arrivent, ils ont entendus le cris, les miliciens vont te recherché. Tu dois quitter cette ville ! Fuis...

Cher lecteur le reste de l'histoire reste assez trouble. M. Bom me la conté mais je doit vous avouez que ma tête pensait à autre chose en particulier. Après maintes recherches je pense donc que la suite ce déroula ainsi...

Le président du conseil se leva et tint ces paroles :
- Hulrick Van Dester Bom-atomik vous êtes accuser d'avoir tuer le bandit du nom de Geans Grest G.G puis de vous êtres livrer aux autorité mais vous n'avez point mander de réclamation particulière. Est-ce exacte ?

- Oui, dit-il. C'est comme ça que tous c'est déroulé.

- Sans demande particulière de votre part, c'est la peine capital. Avez-vous des réclamations ?

- Non, j'ai tué pour venger, j'ai tué pour me sauver, j'ai tué un homme, je me suis ainsi tué.

- Garde, qu'on en finisse maintenant, pas d’exécution publique, tuez le dans cette salle, dit le président du conseil tout en partant. Pauvre gosse...

Partie 5 : The end


La fin reste encore plus trouble que toutes les partis d'avant, j'ai tenté de la restituer du mieux que je pouvais.

Après le départ du président du conseil, les deux gardes présents levèrent leur hache pour fendre le crâne de Bom en quatre tranche de pastèque égale quand tout d'un coup la salle se remplit d'écran de fumé.
Un homme en noir fit son apparition et sauta sur le garde situé à droite de Bom, le garde tomba et une lame douce et aiguiser rencontra directement le haut de sa tête, pour le second, alors que celui-ci se ruait sur l'homme en noir, Bom lui sauta dessus et avec la fureur qu'aurait eut un lion il lui enfonça son crâne dans ses côtes, une fois, deux fois, trois fois, au bout de la quatrième fois un bruit sourd sortis du haut du ventre du garde, arrêt cardiaque. L'homme en noir détacha Bom et ils s'enfuirent par une des fenêtres. J'ai encore faillit a mon devoir,l'homme en noir est un sram fort habile du nom de Spiks. Mais reprenons notre histoire...
Les miliciens recherchèrent avec ardeur Bom et son mystérieux compagnon en vain. Ils avaient disparus de la populace. Deux ans plus tard, quand toute cette malheureuse histoire fut oublier, Bom ressortit de l'ombre plus déterminer que jamais. Après avoir fait le mal, l'amour devait naître.
Il ce dirigea vers Astrub et forgea la guilde « Les citwouilles sauvages ». Guilde d'amour et de paix, mais qui dans les moments troubles allait montrer ses crocs, mais les crocs, c'est dans la deuxième partie...
C'est en ce baladant dans Astrub qu'il aperçut une maison, la maison des mercenaires. Fort intéresser il s'y rendu et aperçut alors des hommes et des femmes de toutes races. Il fut accueillit avec une chaleur humaine au dessus de la normal, et leur posa cette question : « Bonjour noble mercenaires, je suis moi-même en quête du bonheur éternel, de l'amour incassable laissez moi rejoindre votre cause, je voudrais apporté le bonheur et la joie dans ce monde en manque. Moi Bom-atomik je vous demande a genoux, je voudrais, du plus profond de mon être devenir mercenaire.»
Quelques temps plus tard il devint mercenaire et débuta sa quête d'amour et de joie éternel...


– Fin – (?...)
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