HRP
Bon, je précise que je n'ai rien changé à mon BG depuis sa création, je suppose qu'il y aurait des points à améliorer, mais bon on fait avec .°-°
/HRP
Je saisissais vigoureusement mon amulette, la seul chose qui me rapprochait de ce jour...
Sur l'amulette, il n'y avait rien, c'était une amulette banale sur laquelle on inscrivait généralement le nom de leur possesseur, un peu comme une pièce d'identitée.
La seule chose que j'ai c'est le nom inscrit sur cette amulette, "Kyunsei".
Et s'en à toujours était ainsi, le nom qui est inscrit dessus est certainement le mien, de tout façon quel est l'intérêt de s'intéresser au passé alors qu'il n'existe plus ?
Je me sens pourtant las, le futur vers lequel je me tournais sans arrêt est tari. Tari ou bien intarrisable, cela revient au même, car le futur une fois atteint devient passé, et le nouveau futur qui se profile alors se tarrira à nouveau et ce sans fin.
Avais-je vraiment envie de passé le reste de mes jours dans l'attente d'un futur éphèmere? Voilà la question qui me tourmenté.
En temps normal, comme je l'ai dit, le passé ne m'intéresse guère, sauf un seul jour de mon existence, je ne me souvient jamais exactement de ce jour, et cela m'a toujours effrayé de savoir, alors je n'ai jamais vraiment cherché a comprendre et j'ai toujours fuit vers le futur, mais maintenant que le futur ne me semble pas être mon destin, que me reste-t-il ? Je doit me souvenir de ce jour, j'obtiendrais peut-être ma réponse dans le passé.
Pour me souvenir je vais devoir commencer par le début.
Nous étions pauvres, loin d'être des savants diplomés, mes parents étaient par contre ce qu'on appelle des "philosophes", mais ça ne nourris pas son monde !
Je revois clairement mes parents maintenants, mais quand j'essaye de me souvenir de nous trois réunis, tout est flou, mon nom, mon identité, tout semble comme... inexistant. Mon nom, oui je sais quel est mon nom, il est écrit sur cette amulette, ce sont mes parents qui me l'on donné le jour où... le jour où...
Non ! Je dois arreter de me mentir, souviens toi maintenant, que c'est-t-il passé ce jour-la excatement ?
Il y avait du sang, oui, si beau, une flaque parfaite, comme une fontaine de jouvence, je m'y suis tout de suite intéressé, mais ensuite j'ai aperçu un homme, debout, dans le sang, et du sang mon regard glissa sur les corps de mes parents...
Puis l'homme me parla :
"Tu est là petit ? Ne cherche pas à comprendre, ne cherche pas à haïr, regarde, et agi."
La dernière image que je vu avant d'ouvrir les yeux était celle du meurtrier, mort, Sur sa poitrine j'aperçu une amulette, je la reconnue sans peine..., et sur ses yeux j'y lu de la fierté : Fier de moi, son meurtrier.
La réalité était dur à encaisser, bien plus que les coups que je recevait aux combats fades que je menais au Kolizéum.
J'avais pris sa vie, lui celle de mes géniteurs, mais devais-je lui en vouloir ? mes parents étaient sans aucun doutes honnètes, mais leur mort était inéluctable vu la position qu'ils avaient dans la société. J'ai volé sa vie sans pitié, sans raison, mais lui savait, il savait ce que je déciderais de faire. Je doit vivre sa vie, MA vie, celle qu'il m'a donné en échange de mon futur d'orphélin qui m'attendait, mes parents n'avait qu'un seul fils dont il s'occupait : La philosophie, et ceux jusqu'au péril de leur vie.
Aussi aujourd'hui j'en fait le serment : je regarderais toujours vers le futur, toujours vers le passé, Car ainsi forme-t-on le présent, et la vie ne s'écoule qu'au présent.
Aussi pour la première fois sur l'amulette je vis une autre inscription : le Clan des aires.